Les comportements de l’animal sont directement liés aux nécessités biologiques. Ils sont en prise directe sur la nature. Chaque espèce répond de manière appropriée à des stimuli spécifiques. A l’équilibre écologique du monde subi par les êtres vivants se substitue un monde humain médiatisé (un mi-lieu). C’est précisément la perte de toute référence naturelle obligée (de toute normalité) qui fait de l’homme un être normatif, un être moral, un perpétuel fabricant de jugements de valeur.